Mixité sociale à l’école, une affaire de famille ?


En mélangeant les élèves de divers milieux, les élèves en difficultés pro­gressent plus vite, sans pour autant que les « bons » pro­gressent moins. C’est le cas dans des pays comme la Finlande, où la mixité sociale est grande. En outre, une société ne se consti­tue pas en iso­lant les indi­vi­dus dans des ghet­tos en fonc­tion de leurs reve­nus et de leur sta­tut. Il existe un avan­tage cultu­rel à ce que les enfants des dif­fé­rentes caté­go­ries sociales puissent se retrou­ver ensemble. La recon­nais­sance de l’altérité, plu­tôt que le déve­lop­pe­ment d’une cer­taine peur de l’autre est indéniablement un atout.

Les familles défavorisées ont le souci de l’éducation de leurs enfants et de l’école. Toutefois, ce qui les dessert la plupart du temps c’est qu’elles n’ont pas un rapport stratégique à l’école, contrairement aux familles favorisées.. Radio France a traité cette question sur les ondes. 

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